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Sur une note plus personnelle… 

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L’Origine du projet 

Julia,

Nous ne pouvons nommer Dufour et Filles sans honorer la troisième de la famille : Julia, sans qui le projet n’aurait pas pris naissance.  
Elle existe à travers nos choix, nos décisions. Surtout, elle a été déterminante et forgeante dans notre façon d’aborder la vie et les relations. Son passage a été de courte durée, mais elle demeure présente. 

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Mes formations-passions 

J’ai toujours été passionnée des chevaux. Cet amour m’a été transmis par mon père.

 

J’ai commencé l’équitation à l’âge de 10 ans, toutefois j’ai dû m’arrêter durant mes études et le temps de fonder ma famille dans laquelle ont grandi 3 filles : Laurence, Rosalie et Julia.

 

En ce qui concerne mon cheminement académique, j’ai débuté ma formation universitaire par la biochimie et complété un baccalauréat en physiothérapie. A suivi immédiatement après ma formation en ostéopathie, que je pratique depuis 1986.

 

Ma thèse « Profil ostéopathique de patients atteints du syndrome de Gilles de la Tourette » est à l’origine de mon intérêt sur la génétique et l’épigénétique.

 

Ces champs de connaissances sont au centre de mes convictions. On choisit la génétique et on travaille quotidiennement dans le respect de chaque individu cheval en lui fournissant des conditions qui vont maximiser le potentiel d’expression de son être.

 

J’ai suivi plusieurs formations sur la relation humain-cheval afin de développer mon « horsewomanship » pour nourrir la relation de tous les jours et aussi pour développer toujours plus de complicité avec le cheval.

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Aperçu de nos inspirations

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L’épigénétique 

Voici la définition de l’épigénétique qu'on retrouve sur le site du Center on the Developing Child de l'université Harvard : 

« C’est un nouveau domaine de la recherche scientifique qui démontre que les facteurs environnementaux, c’est-à-dire les expériences de l’enfant, ont un effet sur l’expression génétique. Autrement dit, l’ancienne théorie selon laquelle « les gènes étaient coulés dans le béton » a été réfutée. Il ne s’agit donc plus d’un débat entre l’ « inné » et l’ « acquis ». La plupart du temps, les deux interviennent! Durant le développement, l’ADN contenu dans les gènes accumule des marqueurs chimiques qui déterminent l’intensité de l’expression des gènes. Ces marqueurs forment un ensemble appelé « épigénome ». Leur disposition dépend des expériences vécues par l’enfant, ce qui explique pourquoi des jumeaux identiques n’ont pas forcément le même comportement, les mêmes habiletés, le même état de santé et la même performance. »

 

En mettant en pratique ce bagage, nous développons une confiance et une communication hors du commun avec chaque cheval.

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Donna Haraway a développé le concept d’ « espèce compagne »,  mêlant la philosophie et sa passion des chiens. Elle développe une posture éthique face au partage d’une réalité entre espèces différentes. Elle s’inscrit dans la reconnaissance de l’autre en tant qu’espèce non humaine (significant otherness). Sa pensée fut d’ailleurs l’objet du travail de maîtrise de Laurence.

«Vivre avec les animaux, investir leurs histoires et les nôtres, essayer de dire la vérité au sujet de ces relations, cohabiter au sein d’une histoire active : voilà la tâche des espèces compagnes.»

- Haraway, Manifeste des espèces compagnes. Prickly Paradigm Press, 2003

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«Cohabiter au sein d'une histoire active» constitue une posture qui nous ramène à tout ce que comporte le privilège et aussi l'engagement de la relation humain-cheval dans le quotidien. Voici le domaine d'intérêt et de compétence de Rosalie.

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Le concept d'entité biopsychosociale est un modèle qui répond aux exigences nommées pour une relation de qualité et évolutive.

 

On ne peut dissocier le physique du psychique ni du comportement social. Toutes ces composantes ont un impact les unes sur les autres dans un sens ou dans l'autre.

 

Le modèle biopsychosocial, introduit par George Hengel en 1977, est une approche qui prend en compte les facteurs biologiques, psychologiques et sociaux contribuant à la maladie. Ces facteurs influencent l’état de santé mais n’en sont pas la cause. Si nous utilisons ce principe dans les soins quotidiens que nous apportons aux chevaux, nous croyons que cela contribue à rendre ceux-ci plus heureux et en meilleure santé. On peut parler d’un esprit sain dans un corps sain et c’est à ce moment que les interactions entre chevaux et inter-espèces sont possibles et enrichissantes.

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Rosalie a développé une expérience très riche en considérant l'importance de tous les petits et grands gestes du quotidien que nous échangeons avec les chevaux pour eux et pour nous-mêmes mais surtout pour vivre une belle et grande histoire avec notre animal complice.

Ceci vous donne-t-il le goût de vous procurer une semence d’un de nos étalons? Avez-vous le désir de transmettre ces valeurs à votre « espèce compagne »? Nous vous le souhaitons!

Claire, Laurence, Rosalie

epigenetique
biopsychosociale
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